Il était une fois, il était un apprenti à sa propre philosophie,
des honneurs cachés,
des faux rouillées.
Il était une fois un calame
avec vanité, pas orné de gloire,
voit son ombre triste
commence à semmer des vers,
concernant l’égoïsme de son intérieur.
Il était une fois un pauvre peintre
des batailles oubliées de son pinceau grocier
sur de toiles de carton, imbibé d’humidité
Il était une fois un tyran,
d’une plume grossiere
et de papier déchiré.
Il était une fois, celui qui était là
et qui resta là,
dans son monde intérieur.
un bavard sans raison,
Encre et limite de son propre reflet.
Il était une fois une lame ébréchée
fer mortel pour ceux de l’amitié,
il prie pour des lingettes d’alcool,
sème l’obscurité
à la lumière des chandelles.
Il était une fois un poète
la plume lui resta,
l’agonie de son intérieure,
Une âme sans miroir.
NOTA: Gracias mi querido amigo y compañero de tinta por esa mano que deja ver el texto en alemán. ¡Gracias Andreas Wist! Ahora el merecedor de ésta sátira sabe que por encima de la calidad de escritura está la humana.
Danke, lieber Freund und Tintenpartner, für die Hand, mit der Sie den Text auf Deutsch sehen können. Danke Andreas Wist! Derjenige, der diese Satire verdient, weiß jetzt, dass über die Qualität des Schreibens hinaus menschlich ist.
Merci mon cher ami et partenaire d’encre pour cette main qui vous permet de voir le texte en allemand. Merci Andreas Wist! Maintenant, celui qui mérite cette satire sait qu’au-delà de la qualité de l’écriture, c’est l’humain.
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